Schieven Regards II – Eric Ostermann : « Bruxelles d’ombres et de lumières »

Eric Ostermann est l’un des artistes résidents de Bruxelles Pixels.

Durant l’exposition collective Schieven Regards I en 2018-2019 il nous présentait une série de Bruxelles vue d’en haut, photographiée depuis les toits.

Ayant pris pour habitude de se promener dans la ville dès que l’occasion se présente, Eric s’est mis à travailler sur ce qui deviendra son sujet de cette année, les ombres et lumières dans les rues de Bruxelles.

A différents moments, le matin ou l’après-midi, quand le soleil nous fait le plaisir de nous offrir ses rayons, les rues de Bruxelles s’illuminent, et aux détours des rues, des ombres imposantes se créent et offrent de jolies scènes à photographier.

Eric Ostermann photographie Bruxelles depuis de nombreuses années, vue d’en haut ou d’en bas, Bruxelles est son principal sujet photographique.

Son travail est visible sur facebook, sur instagram et sur son site internet.

Expositions

2014 – Expo resto « chez Albert » — Ixelles
novembre 2016 – expo collective « ars varia » Galerie passerelle Louise – Saint Gilles
mai 2017 – Expo au Parlement Bruxellois – fête de l’iris – Bruxelles
mai 2017 – Expo Hellhole event au GC Elzenhof -Ixelles
novembre 2017 – Expo à l’accueil Français de Bruxelles – Uccle
avril 2018 – 6ème biennale d’art contemporain « ars varia » – Espace Delahaut – Evere
octobre 2018 – Expo Schieven regards – Collectif photo Bruxelles-pixels « ars varia » – Saint Gilles
Novembre 2018 – Expo Brussels Unfolded – Galerie Jos Joos – Bruxelles
Juin 2019 — Expo Schieven regards – chez Perspective brussels – Bruxelles


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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Schieven Regards II – Christophe Martinez : « Une vision du regard »

Une vision du regard

L’émotion était le fil conducteur de cette exposition de portraits !
Le travail artistique de Christophe Martinez ne vous a pas laissé indifferent.
Des visages, des regard, des émotions vous ont fait voyager.


Après avoir abordé la photographie sous un angle plus classique, dans l’esprit reportage, Christophe Martinez a pris un virage à 180° et s’est spécialisé dans le portrait très souvent en noir et blanc. Grâce à sa parfaite maitrise, il nous livre les émotions les plus intimes de ses sujets.

Impossible de rester indifférent face à ces visages et surtout ces regards.
La technique est sans conteste un paramètre incontournable pour réussir une photo, mais il y a également un élément plus subjectif qui fait la différence, c’est la pureté du regard qui  observe.
Un photographe de talent se doit de garder ses yeux d’enfant afin de capter l’invisible et l’émotion sans jugements…

Christophe Martinez possède ce regard !

Christophe est un des trois photographes invités pour la deuxième édition de l’exposition « Schieven Regard II » qui a l’ambition de « Make Brussels Tof Again ! ».


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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Schieven Regards II – Philippe Clabots : « (Une parcelle de) la campagne à la ville »

Il y aurait près de 300 « potagers urbains » à Bruxelles.
Souvent discrets, parfois jalousement gardés, vous passez très certainement à proximité de certains d’entre-eux lors de vos déplacements dans Bruxelles sans en soupçonner l’existence.
Mon objectif est de vous faire découvrir quelques uns de ces lieux atypiques de la ville et les personnes qui les font vivre.
Qui sont les passionnés qui prennent soins des potagers urbains ? Quelles sont leurs motivations ? Craignent-ils pour l’avenir de ces parcelles de campagne à la ville ?

Je tiens à remercier tous les « potagistes » qui m’ont accueilli avec bienveillance. A chaque fois cela a été un moment d’échange et de passion communiquée.

J’ai l’intention, après l’exposition « Schieven Regards II » qui aura lieu en octobre 2019, de poursuivre ce projet « potagers urbains » à Bruxelles sur une période de temps étendue. A minima couvrir un cycle annuel pour suivre l’évolution de ces espaces au fil des quatre saisons.

Vous pouvez suivre mon projet sur mon site web et ma page Facebook.


Philippe Clabots a toujours été attiré par la photographie mais celle-ci s’est imposée comme une passion il y a près de dix ans.

Autodidacte il s’est formé grâce à des lectures, des groupes Facebook, de la persévérance, la volonté de s’améliorer … et des milliers de photos.

Mais l’élément essentiel de cette progression, ou plutôt voyage initiatique, est les rencontres faites pendant ces années. Rencontre avec des photographes, qui se reconnaitront, mais également, depuis 2014, avec les visiteurs des expositions auxquelles il a le plaisir de particper.

Initialement centré sur la photographie opportuniste, en fonction de son quotidien ou de ses déplacements, il s’oriente de plus en plus vers des suites d’images cohérentes dans le but de raconter une histoire, de transmettre une émotion ou de témoigner d’un moment de vie.

Il est l’un des quatre photographes à avoir mis en place en 2018 le collectif “Bruxelles Pixels“.

Il est également membre du International Photo Club of Brussels “Viewfinders” et de “Ars Varia” qui a pour objectif la diffusion des arts et des idées.

Vous pouvez suivre son actualité sur son site web, sur Instagram ou sur sa page Facebook.


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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Schieven Regards II – Patrice Niset : « Les Eraillures de la Ville »

« On habite toujours un espace clos, on ne court jamais bien loin, les voitures suivent des routes, les trains des rails, les avions, les fusées ne rejoindront jamais l’infini. On se cogne toujours quelque part. »

Régis JAUFFRET – Romancier français (Né en 1955)

Pendant six mois, le photographe Patrice Niset s’est cogné aux limites imposées par le passage du train dans la ville de Bruxelles. L’idée est simple en apparence. Explorer tous les points de connexions entre la ville et le rail. Les chiffres : 100km de voies, 34 gares actives, 3 passages à niveau, des centaines de ponts et tunnels, des milliers de jardins publics ou non. Un perpétuel jeu de cache-cache.

Le chemin de fer est trois fois plus dense en région Bruxelloise que partout ailleurs dans le pays. Les voies ferrées y pourfendent la ville en se frayant un passage souvent dissimulé, régulièrement inaccessible mais qui s’impose avec force. Un espace dont la plupart des humains sont exclus et où quelques exclus trouvent régulièrement refuge. Les Eraillures de la Ville sont les écorchures superficielles de la métropole. Nous les côtoyons tous les jours sans vraiment les connaître. Après les Gens du Canal (projet photographique de 2018), c’est d’une autre forme d’infrastructures urbaines dont le photographe s’est imprégné en profondeur.


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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Schieven Regards II – Hélène Cook : « Happy feet in the metro »

Invitée en 2018-2019 avec sa série « Brussels Underground » qui mettait en évidence les œuvres artistiques du métro bruxellois au travers des mouvements de véhicules et de passagers, Hélène Cook revient pour la saison 2 de Schieven Regards avec une nouvelle série présentant un tout autre aspect du métro : les pieds des passagers, mais pas n’importe lesquels, ceux qui sortent de l’ordinaire !

Pour la photographe, utilisatrice régulière des transports en commun, le métro est une source d’inspiration photographique privilégiée à Bruxelles. Et observer les voyageurs peut réserver bien des surprises.

Equipée pour cette série d’un petit appareil photo discret, Hélène traque les pieds originaux dans le métro: baskets colorées rigolotes, derby branchés ou hauts talons, bottes diverses, chaussures non identifiées… Elle nous montre que le métro est un lieu qui reflète la diversité bruxelloise.

Elle tente d’isoler des pieds des passagers qui attendent sur le quai ou montent ou descendent des wagons pour souligner l’humain en tant qu’individu dans la masse des voyageurs. Le point commun de toutes les photos de sa série est l’objectif braqué sur une paire de chaussures avec comme décor de fond le quai ou le wagon et toujours la ligne de délimitation de la bordure du quai pour situer le contexte du métro et ajouter une perspective dynamique à ses prises de vue.

Bruxelloise d’adoption d’origine française, Hélène s’est mise à la photographie un peu par hasard il y a quelques années. Membre du Viewfinders Photography Club of Brussels, elle a un penchant particulier pour les paysages urbains et la photographie de rue, mais pas seulement. Vous pouvez la suivre sur son site internet www.helene-cook.eu , sa page Facebook Hélène Cook Photographie et sur son compte Instagram helenecookphoto .

Quelques unes de ses photos ont été primées et exposées lors de concours à Bruxelles (Bruxelles Patrimoine 2018, Visions of Europe du Parlement européen 2019, Prix du jury new shop « horizontal » de Labo Linea).

Hélène est une des trois photographes invités pour la deuxième édition de l’exposition « Schieven Regard II » qui a l’ambition de « Make Brussels Tof Again ! ».


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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Schieven Regards II – Michel Kutendakana : « Les fantômes de la colonie »

Dans les cultures africaines, les masques occupent une place importante.
Ils servent de lien entre le visible l’invisible et représentent aussi bien le divin que les forces qui régissent la nature et les passions humaines.
Comme dépositaires de l’ordre naturel et surnaturel ils sont des intermédiaires qui nous transmettent des messages.
Ce travail photographique fait apparaître de nuit devant des endroits qui portent les traces de la colonisation belge, des masques qui rappellent le poids que les africains ont porté durant cette période.

Michel est un des trois photographes invités pour la deuxième édition de l’exposition « Schieven Regard II » qui a l’ambition de « Make Brussels Tof Again ! ».


Michel Kutendakana est né d’une mère belge et d’un père congolais.
Géomètre et urbaniste de formation, la ville et ses soubresauts font partie de son quotidien professionnel depuis longtemps.
Passionné de photographie, il s’est formé en autodidacte et en suivant des cours ou des stages auprès de différents photographes.
Son regard se porte naturellement sur l’architecture et la manière dont elle façonne notre environnement.
L’humain garde cependant une grande place dans son travail, de manière esthétisante quand il exprime son goût pour la photographie de mode.
Mais ses engagements sociaux lui donnent également une vision plus humaniste de la photographie, attentive aux personnes d’origine diverses qui construisent l’identité originale de Bruxelles, riche de son mélange de cultures.


2017 Exposition collective avec l’atelier de photographie Contraste à l’hippodrome de Boitsfort : série consacrée aux projets d’aménagement du site
2017 Exposition « Sublime Bruxelles » organisée par le Ville de Bruxelles à la Bourse. / 1er prix du concours photo autour de l’architecture des boulevards.
2018 Exposition collective de l’atelier Bruxel, Art et Technique de Catherine Minala, à la galerie Verhaeren à Watermael-Boitsfort : Série consacrée aux ponts 2019 Exposition collective de l’Atelier Bruxel, Art et Technique de Catherine Minala, à la galerie Verhaeren à Watermael-Boitsfort : présentation des premières photos de la série « Les fantômes de la colonie »


L’exposition « Schieven Regards II » organisée par le collectif de photographes « Bruxelles Pixels » s’est tenue en octobre 2019 à la galerie « Passerelles ».
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Schieven Regards I : Philippe Clabots

Philippe Clabots est un des sept photographes qui a participé en octobre 2018 à l’exposition « Schieven Regards I ».

Philippe Clabots nous a emmèné dans le monde de la créativité vestimentaire africaine à Bruxelles.

Que ce soit des chemises confectionnées au « bled » ou des vestes cousues par la grand-mère, un défilé de créateurs ou l’art « sartorial » vous ne pourrez que tomber sous le charme des Afro-sartorialistes. Trois rencontres qui vous feront découvrir l’énergie, la fierté et le talent d’un univers parfois, à tort, éclipsé par la très médiatisée sapologie. Le travail du photographe se tournant de plus en plus vers les personnes et leur interaction avec leur environnement, cette vitalité on fait de cet univers un sujet évident pour « Schieven Regards », lui offrant la possibilité́ de vous présenter une des facettes colorées et multiculturelles de notre ville. Son intention est d’établir une connexion visuelle entre une approche colorée et festive de la vie dans le contexte d’une ville qui ne fait pas penser spontanément à la couleur.

Philippe Clabots : photographe résident du collectif Bruxelles-Pixels from patrice niset on Vimeo
Shooting du Sartorial Show organisé par N.Defustel 


Schieven Regards I : Eric Ostermann

Eric Ostermann est un des sept photographes qui participera en octobre à l’exposition « Schieven Regards« .

Eric Ostermann a pris le parti de montrer Bruxelles sous un jour différent pour ouvrir les yeux de son public sur des endroits fréquentés parfois tous les jours sans réellement y prêter attention.
Ses trois créneaux, sont les photos de rue, les reflets et les photos prises des toits.

Dans le Cercle des Poètes Disparus, le professeur de lettres Robin Williams invite ses élèves à littéralement prendre de la hauteur pour voir le monde autrement. C’est le crédo d’Eric qui, au lieu de
monter sur un bureau, grimpe sur les toits de la ville. La toiturophilie lui donne un sentiment de calme et de sérénité, malgré tous les bruits de la ville toute proche qui se mélangent. Ce sont des moments de grâce qui lui permettent de se concentrer sur ce qu’il observe pour en ressortir le meilleur. Accompagner le soleil couchant et voir la ville s’éclairer depuis les toits de Bruxelles est déjà un réel plaisir, mais partager cela au travers de la photographie l’est encore plus.

Parallèlement, les photos de rues occupent une bonne partie de son temps dédié à la photographie. Chaque week-end, il descend en ville, afin d’y capter des détails et les scènes spontanées qui se présentent à lui.

Les reflets, qu’il prend dans les flaques d’eau, fontaines et autres étangs l’amènent à rechercher des compositions photographiques parfois compliquées et totalement invisibles si on n’y prête pas attention. Devoir se baisser au ras de sol à la recherche du reflet parfait du sujet à photographier l’amène à des résultats en général aussi surprenants que déroutants.

 

Eric Ostermann : photographe du collectif Bruxelles-Pixels from patrice niset on Vimeo.

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Schieven Regards I : Sophie Voituron

Sophie Voituron est une des sept photographes qui participera en octobre à l’exposition « Schieven Regards« .

Sophie Voituron pose son regard aiguisé sur l’architecture qui compose le paysage urbain de la capitale. Elle réalise pour l’exposition une série de photos présentant les salles de réunion de grands centres de pouvoir bruxellois, comme les entreprises, les cabinets ministériels et autres lieux stratégiques.
L’idée est de présenter les lieux de prises de décisions (principalement des salles de réunion) impactant la vie quotidienne des bruxellois, des belges, voire des européens et de partager l’ambiance de ces lieux avec le grand public. Chaque photo est accompagnée d’une description brève de l’endroit et du nombre de personnes impactées par les décisions prises en son sein.

Spécialisée en photo d’architecture, Sophie participe régulièrement à des expositions en Belgique et à travers l’Europe. Elle a gagné de nombreux prix internationaux.

Sophie Voituron : photographe du collectif Bruxelles-Pixels from patrice niset on Vimeo.

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Schieven Regards I : Patrice Niset

Patrice Niset est un des sept photographes qui a participé en octobre 2018 à l’exposition « Schieven Regards« .

Patrice Niset en véritable amoureux du canal maritime de Bruxelles, vous présente la ville sous un de ses aspects les plus méconnus. Long de 14km, le canal maritime de Bruxelles est le lieu de tous les contrastes. En pleine mutation urbanistique, sociale et économique, le canal surprend par la diversité des ambiances et des gens qui en prennent possession au quotidien. Sept communes traversées, 28km de quai, le canal se fraie un chemin dans la ville.
Qu’ils y vivent, qu’ils y travaillent ou qu’ils soient de passage, les Gens du Canal fascinent le photographe. Il les observe depuis de nombreuses années. C’est à un voyage entre la gentrification et la paupérisation de certaines de ses portions auquel il nous emmène. C’est aussi une immersion dans les loisirs nautiques et la batellerie professionnelle. C’est la découverte des ouvrages d’art et de leurs gardiens. C’est la solitude des déracinés mais c’est aussi le formidable brassage culturel et ethnique. Toutes les images intègrent l’humain dans l’environnement très immédiat du canal, en général à quelques mètres seulement de l’eau.

Patrice Niset : photographe du collectif Bruxelles-Pixels from patrice niset on Vimeo.