Adam Paluch

Depuis le début de mon parcours photographique, je suis fasciné par la relation entre l’homme et son environnement et les changements de celui-ci suite aux différentes activités humaines: l’urbanisation, les industries, l’agriculture,…

Je trouve que la ville est l’endroit ou l’on voit le mieux cette relation homme- environnement. C’est un lieu ou les choses changent très vite, des constructions en remplacent d’autres, qui a leur tour sont remplacées. L’architecture est pour moi le meilleur témoin du développement sociétal lors d’une époque. Elle traduit les idées de celle-ci, les conditions sociales, économiques,…

J’utilise ma photographie afin de documenter ces traces que l’humain laisse dans son environnement, afin d’en garder un témoignage au travers des années, au travers des changements successifs du territoire.



Lionel Maelfeyt

Lionel Maelfeyt, ou encore appelé « NTX.Photography » sur ses réseaux sociaux, est un photographe bruxellois amateur, autodidacte et passionné de 34 ans. Diplômé d’un bachelier en Biologie-médicale et travaillant pour les hôpitaux bruxellois, la crise du Covid l’a poussé à sortir de son quotidien hospitalier et de se lancer dans la photographie pour échapper à cette dure réalité. Depuis maintenant deux ans, il parcourt régulièrement les rues de Bruxelles à la recherche d’un regard nouveau et décalé sur notre ville, alliant photographie numérique et, plus récemment, argentique.



Philippe Clabots

Autodidacte il s’est formé grâce à des lectures, des groupes Facebook, de la persévérance, la volonté de s’améliorer … et des milliers de photos.

Mais l’élément essentiel de cette progression, ou plutôt voyage initiatique, est les rencontres faites pendant ces années. Rencontre avec des photographes, qui se reconnaitront, mais également, depuis 2014, avec les visiteurs des expositions auxquelles il a le plaisir de particper.

Son butut est de raconter une histoire, de transmettre une émotion, de partager des sensations ou de témoigner d’un moment de vie.

Philippe est un membre du collectif « Bruxelles Pixels« , une des sections de ARS VARIA, composé de cinq artistes résidents, qui a l’ambition de montres Bruxelles sous un jour anticonformiste.

Vidéo par patrice niset sur Vimeo.



Hélène Cook

Bruxelloise d’adoption d’origine française, Hélène Cook s’est mise à la photographie un peu par hasard il y a quelques années. Ce hobby est rapidement devenu une passion qu’elle mène en parallèle à son activité professionnelle. Adepte de la photographie urbaine, elle a un penchant particulier pour les stations de métro, l’architecture, la photographie de rue et les paysages urbains.

Par sa photographie, Hélène aime révéler la beauté de Bruxelles, y compris à des endroits où l’on ne s’y attend pas, en jouant notamment sur les contrastes de couleurs et les perspectives dynamiques.

Hélène Cook est membre résidente du collectif de photographes Bruxelles Pixels et est également membre du Viewfinders Photography Club of Brussels. Elle participe régulièrement à des expositions, principalement en région bruxelloise et plusieurs de ses photos ont été primées lors de concours à Bruxelles.



Patrice Niset

Patrice Niset, photographe passionné par la vie de la cité, explore depuis 2010 les rues animées et les recoins cachés de Bruxelles, capturant l’énergie palpitante qui anime la ville. Sa lentille curieuse se penche sur chaque aspect de la vie urbaine, des mouvements effrénés des transports aux mystères enfouis dans les cimetières, en passant par les toilettes publiques.

Fasciné par les méandres de la vie citadine, Patrice  se distingue par sa capacité à narrer la ville dans toute sa complexité. Ses photographies ne se contentent pas de capturer la beauté architecturale, mais explorent également les tourments qui agitent les artères urbaines. À travers son objectif, la ville devient une histoire vivante.

Auteur de plus de 80 reportages publiés à ce jour (www.lesmiroirsdelombre.com), Patrice Niset a appris à décoder le monde du travail et la chorégraphie des gestes qui font la noblesse des métiers rares et emprunts de tradition. Ce travail a maintes fois été mis à l’honneur dans des expositions. Ainsi, en 2014, 19 artisans d’Art ont été mis en avant six mois durant dans le prestigieux château du Domaine de Seneffe en Belgique. En avril 2018, c’est à Aÿ en Champagne (Reims) que le photographe est l’invité de la mairie pour un hommage à l’enfant du pays : René Lalique. Trente clichés de la mythique cristallerie seront exposés tout l’été dans la ville.

Vidéo par patrice niset sur Vimeo.



Sophie Voituron

Artiste franco-belge, basée à Bruxelles, Sophie photographie depuis des années l’architecture des grandes villes et ses habitants.

Elle a remporté de nombreux concours internationaux pour ses séries depuis 2015 et expose régulièrement en Europe et vient de sortir son 3e livre aux éditions Racine ‘L’Art Nouveau à Bruxelles: Demeures intemporelles”.

Sophie est l’ambassadrice de l’atelier d’impression MikeMuka, spécialiste de l’impression piézographique.

Sophie est membre résidente du collectif de photographes Bruxelles Pixels.

Vidéo par patrice niset sur Vimeo.



Eric Ostermann

Eric Ostermann a pris le parti de montrer Bruxelles sous un jour différent pour ouvrir les yeux de son public sur des endroits fréquentés parfois tous les jours sans réellement y prêter attention.
Ses trois créneaux, sont les photos de rue, les reflets et les photos prises des toits.

Dans le Cercle des Poètes Disparus, le professeur de lettres Robin Williams invite ses élèves à littéralement prendre de la hauteur pour voir le monde autrement. C’est le crédo d’Eric qui, au lieu de
monter sur un bureau, grimpe sur les toits de la ville. La toiturophilie lui donne un sentiment de calme et de sérénité, malgré tous les bruits de la ville toute proche qui se mélangent. Ce sont des moments de grâce qui lui permettent de se concentrer sur ce qu’il observe pour en ressortir le meilleur. Accompagner le soleil couchant et voir la ville s’éclairer depuis les toits de Bruxelles est déjà un réel plaisir, mais partager cela au travers de la photographie l’est encore plus.

Parallèlement, les photos de rues occupent une bonne partie de son temps dédié à la photographie. Chaque week-end, il descend en ville, afin d’y capter des détails et les scènes spontanées qui se présentent à lui.

Les reflets, qu’il prend dans les flaques d’eau, fontaines et autres étangs l’amènent à rechercher des compositions photographiques parfois compliquées et totalement invisibles si on n’y prête pas attention. Devoir se baisser au ras de sol à la recherche du reflet parfait du sujet à photographier l’amène à des résultats en général aussi surprenants que déroutants.

Photographe autodidacte (45), la photographie ma repris à la naissance de ma première fille il y a une quinzaine d’années, évoluant sur les différentes plateformes et réseaux dédiés, j’ai pu avec le temps améliorer ma technique et ma perception.
Mon sujet principal est Bruxelles, j’adore m’y balader et y découvrir régulièrement de nouveaux points de vues ou tenter de photographier des endroits vus mille fois mais avec un nouveau regard.
Je me balade autant sur les toits de Bruxelles que dans des endroits plus insolites.

Eric Ostermann : photographe du collectif Bruxelles-Pixels from patrice niset on Vimeo.